Les rencontres d’Arles 2024 – Espace Monoprix

1 juillet – 29 septembre 2024

10H00 – 19H30

CITOYENS MODELES DEBI CRONWALL

SUR LE QUI VIVE Prix découverte 2024 Fondation LOUIS ROEDERER

AN ELECTRONIC LEGACY FRANÇOIS BELLABAS

THIN AIR CEMIL BATUR GÖKÇEER

SOULEVER LA POUSSIERE COLINE JOURDAN

Dans ce lieu, vous y retrouverez un témoignage sur notre société occidentale qui menace l’équilibre du monde.

Debi CRONWALL est une artiste du visuel, elle nous propose avec « Citoyens Modèles » son regard de l’Amérique patriarcale et patriote elle construit ces photos comme un plan-séquence digne d’Hollywood.

« Sur le qui vive » est l’exposition du prix découverte de la Fondation Louis ROEDERER où les projets retenus sont dans une seule et même exposition de la sélection à l’accrochage, par une commissaire, Audrey Illouz. Pendant la semaine d’ouverture, un jury décerne le Prix Découverte Fondation Louis Roederer, qui récompense une ou un artiste et la structure porteuse du projet à travers une acquisition d’un montant de 15 000 euros. Le public décerne son prix qui s’accompagne d’une acquisition d’un montant de 5 000 euros. « Sur le Qui vive » part de ce sentiment d’insécurité que nous connaissons tous, et fait référence au poème « Intranquillité » de Pessoa. 5 artistes ont été récompensées :

• Tshepiso Mazibuko (présenté par UMHLABATHI COLLECTIVE Afrique du Sud) examine sa génération et les suivantes dans l’Afrique du Sud post-apartheid.
• Coline JOURDAN (soutenu par le lieu de la photographie Île de France) travaille sur la pollution invisible et cherche les détails du mal environnemental jusqu’à s’aventurer en terres hostiles.
• François BELLABAS ( représenté par le centre photographique d’Île-de-France) photographie la Californie en feu où l’IA s’est imposée.
• Pour Cemil Batur Gökçeer (présenté par KA, Turquie) son exposition constitue une archive sensible du désastre écologique. Les photographies laissent, à la manière d’un présage une image du doute.
• Dans Fast-forward Marilou PONSIN (galerie Laurent GODIN, France) s’inspire d’objets spéculatifs et anticipe un futur proche où nous nouons une relation sensorielle avec des objets technologiques.