En concert au cabaret le Marseillais le 5 août 2025 20h30 dans le cadre du festival Aout? Avignon
Auteur-compositeur interprète Enrique Andreu
Interprète et pianiste Frédérique Bertrand
Violonniste Charlotte Garcin
Cajun Franck Appedu
Je suis une bonne personne, mais avec de nombreux défauts.
Enrique Iglesias
Enrique est le Canada Dry de la musique.
Un produit qu’on a connu, qu’on (re)connaît et qui passe parfois (enfin, selon ses dires) comme un musicien invisible.
Visiblement, il y a anguille sous la roche de Marseille, parce que ce gars-là, il aurait pu devenir un Sting ou un des choristes du groupe « Capitaine Abandonné ».
A priori, il est connu par ses pairs. Il a fait une paire de concerts pour des premières parties de grands artistes francophones.
Ce musicien a un double effet de bonbon à deux faces, de la douceur mis sous la langue puis un peu d’acidité en arrière-bouche afin qu’on ne décroche pas nos oreilles du propos.
D’ailleurs, il était accompagné, ce soir-là, par un bonbon anglais méditerranéen tout en flegme stylisé pragmatique, Frédéric Bertrand pianiste et interprète du couturier auteur qui se nomme Enrique qui elle-même était accompagnée par une violoncelliste qui ne manque pas de cordes à son archet prénommée Charlotte Garcin qui jouait au ping-pong sonore avec le cajun de Frank Appedu.
Métaphoriquement, on pourrait comparer un récital d’Enrique a un paquet de bonbons gélifié avec un peu de réglisse afin de tonifier le tout pour écouter. Enrique est donc un confiseur de sons; il s’est s’entouré de candeur et d’ironie avec des êtres éclairés par la musique.
Enrique n’est pas un Iglesias.
Il est un auteur-compositeur interprète qui aime les variétés de Marity et Gilbert Carpentier et fait crapahuter son groupe à travers champs et continents pour continuer à créer un
son- lumière et iconique. Il pourrait faire les 4 fantastiques à lui tout seul, car il a proposé au festival d’Avignon un moment prestigieux en performance qu’on peut imaginer comme un hybride des émissions de variétés télévisuelles comme « Champs Élysée » ou un « Taratata » de l’image, du son, et de la voix au cabaret le Marseillais.
Ainsi, il trace sa voie et qu’il emmène d’autres vers son précipice musical, comme dans une boite de Quality Street, le public pioche ce qu’il préfère.
En-tout-cas, il ne faut pas se précipiter dans tout ce qui vit sur scène quand on assiste à un concert d’Enrique. Il faut rester « focus » sur sa proposition musicale, expression fétiche des Millénials, et issue d’une génération millénaire (après nous, le déluge) ; Enrique essaie de nous distraire pour voir si nous écoutons le fond et non la forme du récital.
C’est un signe d’intelligence artistique.
Il recherche des opportunités de concerts pour développer son savoir-faire. Alors, n’hésitez pas à le contacter. La vida vous remerciera!
Lien de son site
app.wonder-george.com/sites/enrique_andreu_sanchez/index.php
andreu.e@orange.fr
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